Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
C'est comme un vent de liberté
17 août 2009

Les connards courent les rues.

Je sens comme encore un peu de haine en toi. Je sais que tu me déteste. Pour tout ce que je t'aurais soi disant fait. Je comprend que tu puisses être déçu. Mais tout n'est pas que de ma faute. J'avoue parfois me dire que j'aurais préféré qu'on ne se rencontre jamais. Oui. Aujourd'hui je sais bien que tu parles de moi en mal, je sais bien que tu cherches n'importe quel prétexte pour prouver aux gens autour de toi que je suis une sale petite garce qui t'a brisé le cœur. Mais au fond tu sais très bien que c'est pas le cas. Le jour où je t'ai rencontré était génial, les semaines ont passées et effectivement les doutes ont commencés à apparaitre. J'ai tout de même continué. Puis on s'est voilé la face je pense. Tu me donnais tout, et je ne te rendais rien. Tu le savais, mais tu ne bronchais pas. Je le savais mais je ne changais pas. Et le temps est passé, creusant entre nous un fossé de plus en plus grand. On disait s'aimer, on disait être heureux, on disait faire confiance à l'autre. Mais aujourd'hui je doute de tout ce qu'on a bien pu se dire. Quand j'aperçois ta réaction, je me dis que je me suis trompé, que tout n'était qu'une façade, que tu n'es pas celui que je pensais. Tu es devenu hautain, manipulateur et désagréable. Tu donnes une image de toi différente de celle d'auparavant. Tu paraissais autrefois sympathique, généreux, sincère. Aujourd'hui tu ressembles juste à un mec sans personalité, d'une immaturité profonde avec un comportement de salopard. Oui, je parle bien de toi, et crois moi ça me fait de la peine de voir ce que tu es. Mais après tout, peut être es-tu heureux comme ça, c'est surement l'essentiel. Tu serais capable de dire que c'est de ma faute si tu es devenu cela. Moi je ne pense pas. Je pense qu'enfaite tout n'était que du vent. Quand tu étais avec moi, tu étais adorable, et dès qu'on se séparait tu redevenais ce sal con. A croire que c'était ça ta véritable nature. Nous n'aurions pas pu être heureux. Tu faisais des projets, tu m'apellais "l'amour de ta vie", tu nous voyais encore ensemble dans quelques années. Moi je ne voulais rien construire, je savais que ce n'était pas toi l'amour de ma vie, et j'avais du mal à savoir si le lendemain on aurait été ensemble. Malgré tout je ressentais quelque chose pour toi, mais je pense qu'on s'est trop emballé. J'avais tellement vécu de la merde auparavant que le jour où tu es arrivé avec tes mots doux et tes sourires, j'y est cru. En me disant que ça se trouve je rencontrerai jamais un mec comme ça. Mais tu n'es pas si exeptionnel que ça, au final rien ne nous liait, appart cette soirée où on s'est rencontré, cette ambiance de fête. Je pensais être heureuse, mais enfaite je ne l'étais pas, et je me suis senti revivre de ne plus être avec toi. Oui c'est horrible ce que je dis, mais c'est la vérité. J'ai vécu certes des bons moments à tes côtés et tu m'as apporté certaines choses dont je te remerci. Mais tout le reste n'était que du vent, notre couple était une façade, tout n'était qu'utopique. Je ne m'en rendais pas vraiment compte, mais c'est aujourd'hui que je le réalise. Car maintenant oui je suis heureuse en amour. Et il aura fallu pour cela que je me mette avec celui qui déjà auparavant me rendais heureuse en amitié. Celui qui a compté dès les premiers jours, qui a réussi en peu de temps à prendre une place monumentale dans mon coeur. Et son absence a été très dure à supporter. Ce sentiment de bonheur que je ressentais quand il revenait, aurait du me faire comprendre qu'il était plus que ce que je pouvais dire. Et aujourd'hui je me sens vraiment bien, j'aime être avec lui, j'aime penser à lui. Je fais des projets, j'aime y croire, je suis fière de lui, et autour de moi beaucoup de gens l'apprécient. Pas comme toi. Je n'étais pas aimé de ton entourage mais il en était de même pour toi..voila pourquoi il était rare que je puisses passer du temps avec toi et les gens que j'aime. Quant à Kevin c'est le contraire. Il est naturellement sincère, drôle et gentil. Il n'a pas besoin de se forcer. Ce qui n'est pas ton cas. Tu es tout ce qui existe de plus vicieux et de plus faux. Alors oui je suis apparement pour toi une vraie petite pute contente de se faire baiser par son ancien meilleur pote. Mais moi je t'emmerde. Toi et tes remarques à la con, toi et ta rancune à la con, toi et ton egoisme à la con, toi et ta superficialité à la con. Je t'emmerde toi. Celui que j'aurais préféré ne jamais rencontrer.

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité